Le laboratoire des (in)certitudes
Huit chaises assises
Une installation questionnante et itinérante abordant des questions de société
L’expression artistique au service du sens.
Installation dans l’espace public.
Septembre-octobre 2020 - Période Covid19
La Vie rêvée du Pangolin est une construction collective de 9
mètres de long mais également le résultat d’ateliers
artistiques et d’animations d’expression de nos ressentis sur
des situations vécues durant cette période de
confinement/déconfinement.
Précédés d’une animation assurée par Christine De Jode (Centre
Local de Promotion de la Santé du Brabant Wallon) avec l’outil
pédagogique «Si on en parlait», les ateliers artistiques ont
impliqué plus de 200 personnes du village pour la réalisation
des écailles. Enfants et adultes s’expriment sur leur
perception et de leur vécu durant la pandémie de Covid-19. La
réflexion, née des animations en amont, nourrit alors la
création sur les plaquettes/ écailles du pangolin.
Imagier / photo language
Le projet La Vie rêvée du Pangolin a également donné naissance
à un outil pédagogique développé par le CLPSBw. Il s’agit d’un
imagier composé de 68 photos-réalisations picturales
signifiantes extraites des plaquettes-écailles du pangolin.
Accompagné d’une fiche pédagogique, cet imagier permet à son
tour de support à l’expression de ressentis liés à la pandémie
du Covid19.
Imagier à télécharger gratuitement sur :
https://www.clps-bw.be/ressources-coronavirus/outils-2
Un projet de Alain de Pierpont.
En collaboration avec le Parcours d’artistes
Profondsart-Limal.
Avec le soutien de l’échevinat de la culture de la ville de
Wavre.
Intervention dans l’espace public.
Avril
2020 - Période Covid19
Que serait notre vie sans l’enrichissement des autres ?
Monochrome ?
Le projet est né du premier confinement. Ou comment apporter
un peu de rêve, stimuler l’imagination et questionner l’avenir
quand on est enfermé chez soi en période de confinement.
«Faire vœux de tout bois», c’est proposer du rêve, surprendre
de manière créative les promeneurs ayant besoin de se balader
et de sortir de leur confinement. C’est aussi attirer
l’attention sur la beauté de ces troncs d’arbres et mettre en
valeur la filière bois.
Un projet de Alain de Pierpont.
Avec la participation du collectif WhatsFish!
En collaboration avec la société Arboritech, Gardien de
l’Arbre.
Et si on recommencait tout à zéro?
On est sur une île déserte : Comment fait-on pour s’organiser?
Pour vivre avec les autres, construire du bien public, des
règles de vie, exercer des droits? Bref construire une
nouvelle société. Quels sont nos besoins fondamentaux? Quelles
valeurs désiront-nous défendre?
Différentes activités permettent d’appréhender le vivre
ensemble et de tester différentes situations amenant les
participants à se questionner, à échanger des idées, à prendre
des décisions individuelles ou collectives et à s’essayer à
différents types de vote, à repenser nos fonctionnements.
Débat ouvert sur le vivre ensemble, les valeurs partagées (ou
non), le fonctionnement en groupe, ...
Des ateliers d’expression artistique ont été proposés et
développés dans un second temps.
Plusieurs animations et ateliers artistiques ont été réalisés
avec des jeunes et des adultes de : MJ Ottignies, Amo La
Chaloupe, les CPAS de Genappe et de Grez Doiceau.
Un projet de Alain de Pierpont.
En partenariat avec le Centre Culturel du Brabant Wallon. En
collaboration avec Article27 BW.
Conseils, méthodologie et ressource outils pédagogiques : CLPS
Bw
Dans le cadre de l’action «Dis-moi dix mots sous toutes les
formes» (la langue française en fête).
Comment jouer et représenter les dix mots proposés? :
gribouillis, crusif/cursive, rébus, signe, arabesque,
coquille, phylactère, logogramme, tracé et composer.
Lecture de livres, théâtre d’ombre, jeux de découverte sur les
syllabes, les mots.
Création de rébus, dessins de lettres et de pictogrammes
Mots dessinés lettres d’images.
Création d’une chanson.
L’écriture peut être amusante si on joue avec les mots comme
avec des images, si on les anime.
Nous avons joué avec les lettres pour construire des mots, les
lire, les écrire et en inventer d’autres.
On leur a donné vie en en faisant des objets que nous avons
installés dans le jardin de l’école, créant ainsi «Le jardin
des mots».
Création d’installation : Rébus interactif (panneau avec
cartes mobiles permettant la composition de toutes sortes de
mots - Mobile dessin libre (marqueurs de couleur suspendus) -
girouette représentant le mot phylactère (logogramme), Le mot
Composer, composé avec des lettres dessinées en fruits et
légumes (une salade de mots, un poème de légumes) pour égayer
le potager de l’école - un panneau aux lettres mobiles
tournant sur elles-mêmes permettant l’écriture de différents
mots. Ces installations permettent à tous les élèves de
l’école de s’amuser avec les mots et les lettres.
«Le Jardin des mots» a également été sélectionné pour
participer au Parcours d’artistes de Orp-Jauche.
Un projet de Alain de Pierpont.
En collaboration avec l’école communale de Jauche et La Maison
du conte et de la littérature.
Avec le soutien de la Fédération Wallonie-Bruxelles.
Réalisation d’une installation artistique composée de livres
ouverts -symboles de liberté - entourant les troncs des arbres
de la rue du Pont du Christ au centre de Wavre.
Fruit d’une réflexion collective menée lors d’un atelier philo
sur le thème des libertés, ces arbres à livres contiennent les
interventions artistiques de jeunes participants issus de deux
associations partenaires d’Article 27 aux publics très
différents. Elles reflètent graphiquement les opinions,
pensées et réflexions que ces jeunes ont souhaité exprimer à
propos de la liberté.
Un projet de Hors Jeu asbl et Article 27 Brabant Wallon.
En collaboration avec Clairs Vallons, le Service de Cohésion
Sociale de la ville de Wavre et le Centre d’Action Laïque du
Brabant Wallon.
Avec le soutien du Service des Festivités de Wavre et du
Centre Culturel du Brabant Wallon.
Une initiative de Alain de Pierpont dans le cadre du projet «Livres citoyliens»
www.facebook.com/livrescitoyliens
La Grande Librairue est une oeuvre participative et
collective, un mur ephémère de 5500 livres destinés à la
poubelle présenté lors du Parcours d’artistes de
Profondsart/Limal 2016
C’est un acte poétique qui
s’inscrit dans une conception de la vie de quartier où partage
et échange contribuent à la qualité de la vie. C’est une
démarche qui permet d’habiller de manière créative l’espace
public, d’échanger et de partager le plaisir de la lecture.
C’est donner une deuxième vie aux livres en les recyclant de
manière citoyenne. «Les livres font le mur» pour aller à la
rencontre de tous les publics et permet un accès à la culture
pour tous.
Cette installation interroge aussi
notre société de la consommation : «que faisons-nous de tout
ce qu’on a produit et qui «ne vaut plus rien»?
Enfin,
à l’heure où se dressent des murs d’exclusion aux quatre coins
de l’Europe,
les livres «font le mur» pour magnifier le
beau, le partage et la rencontre!
Le stockage, la structure et le placement des livres a été
rendu possible grâce aux voisins enthousiastes.
Les
livres proviennent des poubelles des Petits Riens, de la
déchetterie de Wavre, de la bibliothèque de
Montignies-sur-Sambre, des voisins, amis et inconnus qui ont
tenu à participer au projet.
Une initiative de Alain de Pierpont dans le cadre du projet «Livres citoyliens»
www.facebook.com/livrescitoyliens
Le projet «Livres citoyliens» a pour but de promouvoir
l’éclosion d’installations artistiques favorisant le lien
social dans les quartiers au travers de l’échange et le
partage de livres.
Cette démarche artistique permet d’habiller de manière
créative l’espace public et d’échanger, prendre et partager le
plaisir de la lecture.
C’est donner une deuxième vie aux
livres et en les recyclant de manière citoyenne.
C’est aussi sortir le livre des ses murs pour aller à la
rencontre de son public et stimuler l’envie d’aller en
bibliothèque publique.
Chapitre 1 : L’arbre à livres citoyliens
Cette installation située près d’une gare ferroviaire
se veut également une ode à la nature, au côté rural
disparaissant du village. Elle se veut à la portée de tous,
acte poétique dans une société aux technologies de la
communication surdéveloppées.
Autour de cet «Arbre à livres citoyliens» se nouent de
petites conversations. «La fonction première des petites
conversations (à ne pas confondre avec les ragots et
racontars) c’est de créer et de développer du lien social.
Ceux que les petites conversations anodines rebutent sont
perdants. En effet, c’est un rituel utile et nécessaire, un
langage utilisé librement et sans but précis si ce n’est
d’exprimer et partager des sentiments, construire un climat
de sociabilité.» (dixit Planète non-violence).
Les petites conversations cimentent les liens sociaux,
développent l’intelligence du cœur. Elles sont également
facteur d’intégration.
Vous voulez, vous aussi, écrire les autres chapitres de ces «
livres citoyliens »?
Créez votre installation dans votre quartier et envoyez-nous
des photos et un texte expliquant le contexte et la démarche.
Conception et réalisation de la communication graphique
globale du festival.
25 ans de collaboration graphique
Couleur Café offre 5 scènes à ses
festivaliers.
Une large palette de styles sont
représentés, du r’n b au hip-hop en passant par le soukous, le
reggae, le dub, le flamenco, la salsa, le son, le zouk ou
encore le folk, la pop ou la musique électronique.
Organisé
comme un grand village convivial dans la ville, avec ses
places et ses ruelles, le festival de rencontres
multi-culturelles offre, en marge de la musique, de nombreuses
animations, feux d’artifices, marché artisanal, cours de danse
et expositions artistiques ainsi que des lieux de rencontres
multi-culturelles.
Chaque année, les ONG d’aide au développement participent à
l’événement : regroupées au sein du Village Solidarity, elles
proposent animations, informations et débats.
Conception, développement et production d’un jeu outil
pédagogique interculturel.
Une initiative de
Médecins sans frontières Belgique.
« Mix Box » est
une activité interactive dont l’objectif est de susciter un
questionnement sur notre propre culture et sur celle des
autres. Au-delà d’un jeu, il s’agit d’un outil facilitant
l’apprentissage de chacun en faisant appel à l’expérience
personnelle et active de chaque participant.
« Mix Box »
vise à encourager les échanges dans une équipe
multiculturelle, en vue d’une meilleure compréhension de soi
et de son entourage.
En collaboration avec Médecins Sans Frontières Belgique
Illustrations
: Nic Nac
Soutien à un des « enfants de la rue » de la chronique
documentaire « La vie est un jeu de cartes »
Dans
le cadre de cette chronique documentaire sur la vie de six
(ex-)enfants de la rue de Bujumbura (Burundi), nous avons
répondu à l’appel à l’aide de Jean-Marie. Jean-Marie est le
seul des six enfants qui a appris à lire et à écrire. Il a
maintenant 30 ans et est sans emploi fixe, comme beaucoup de
ses concitoyens. Sa vie actuelle est une vie au jour le jour,
à la recherche de quoi survivre jusqu’au lendemain. Cette
perspective est impensable avec une femme et l’enfant qui
arrive. Jean-Marie est occasionnellement chauffeur de taxi.
Son projet était d’acheter un taxi pour pouvoir en vivre
régulièrement, sans devoir demander à des taximen de lui
prêter leur véhicule quand ça les arrange. Jean-Marie nous a
envoyé un projet financier d’investissement et d’amortissement
bien pensé. Nous avons lancé une souscription sur Internet et
réuni la somme pour lui payer son taxi… avec lequel il
travaille désormais tous les jours.
Une initiative de Philippe de Pierpont, réalisateur de la chronique documenraire «La vie est un jeu de cartes» sur les enfants de la rue à Bujumbura. Auteur du livre «Journal burundais» à l’Atelier d’édition.
Dans une bibliothèque bruxelloise, réalisation de carnets
écriture-dessins par des apprenants en langue française
(Alpha) évoquant des témoignages du quotidien, des lieux de
vie. L’écriture par le biais du dessin, de la peinture ouvre
aux apprenants d’autres portes où le contact, les échanges et
l’apprentissage de techniques graphiques enrichissent leur
univers. Assemblés, ces carnets mis l’un en-dessous de l’autre
tels les appartements d’un immeuble donnent une unité
surprenante malgré les styles de dessins fort différents. Le
projet prend alors tout son sens.
Tous ces
témoignages de vie, du quotidien, se répondent les uns aux
autres donnant de l’épaisseur au sentiment d’humanité, à cet
incroyable brassage de cultures désireuses de maîtriser notre
langue. L’un des objectifs des bibliothécaires est d’ouvrir la
bibliothèque et de proposer ses services à de nouveaux
publics.
Une initiative du CLA (Collection livres d’artistes) de la bibliothèque de Watermael-Boitsfort et de la maison de quartier du Dries
A Katmandou (Népal), des enfants, adolescents et jeunes
adultes tibétains réfugiés racontent les raisons qui les
poussent à franchir, mal équipés et en proie à d’innombrables
difficultés, les redoutables montagnes de l’Himalaya. Au
travers de leurs récits, c’est toute une culture qui apparaît,
forte de ses valeurs bouddhistes et de son attachement à son
chef spirituel. C’est également la peur omniprésente des
autorités chinoises, la crainte d’être arrêté, maltraité ou
rapatrié de force par les autorités népalaises. Ce sont enfin
des projets d’avenir, clairement formulés, qui témoignent de
l’attachement profond à leur pays et à leur culture, de leur
soif de liberté et de leur envie d’une vie décente et ouverte
au monde moderne.
Ces carnets d’exode ont été
réalisés en utilisant au maximum les matériaux locaux :
papiers végétaux (logta), papiers de mantra, ceintures des
tabliers des femmes. Perles de mala ou des boules de feutre
ont servi d’attaches.
Expositions en Belgique, France, Pay-Bas
Une initiative
de Alain de Pierpont, Dominique De Mees et Christine De
Jode.
En collaboration avec le Festival Couleur Café et
La Lune Bavarde
Réalisation d’auto-portraits de réfugiés au Petit-Château à
Bruxelles.
Une façon de dire «j’existe, ici et
j’existerai partout ailleurs». «Je (me) peins donc je
suis».
Afficher les portraits des
résidents-réfugiés sur les murs extérieurs du Petit Château,
c’est créer un «FaceWall», une sorte de «Facebook» des
réfugiés.
We are all refugees
Plusieurs
résidents du Petit Château ayant participé aux ateliers ont
été invités au Festival Couleur Café pour animer le Village
Solidarity. Les festivaliers ont pu faire leur auto-portrait
et se faire photographier devant un mur composé des peintures
des réfugiés.
Les participants ont pu, par la suite,
télécharger, leur photo prise au festival sur le site
www.exodus-art-projects.be.
En collaboration avec le Festival Couleur Café
exodus-art-projects.be
Aide à la promotion culturelle : Production du EP Newtown
(Pressage et impression pochettes 500 exemplaires).
Formé
en 2005, Newtown, groupe bruxellois, se caractérise par son
énergie mélodique.
Un peu rock, un peu jazz, un peu
folk...
Un mélange original qui confère au groupe un
style et un timbre tout particulier.
Les morceaux sont
construits et composés par les quatre membres. Ils étonnent
par leur richesse et leur envolée puissante qui leurs
confèrent une magie mélodique enivrante.